lundi

Du démon.

Combien de fois ai je été le jouet, l’instrument des grands maîtres. O Satan.


O Satan. Ma créature. Tu m’échappes.


Matou miaulant qui élucubre.


Pour l’exorcisme !

Caresser la corne.


Alibert ? Un démon ! Non un athée.


Se révolter, disparaître, dominer.


Le mal avance… Masqué.


La douceur s’oublie vite.


Je m’acoquine en douce aux puissances démoniaques.


J’approche du soleil à chaque reniement.


Celui qu’on console et aussitôt devient grossier.


Ce coeur qui a besoin d’idole.


Au lieu de craindre ce feu qui me brûle tu ferais bien mieux de t’y chauffer. Incrédule !


Ils sont les adorateurs de la mort cathodique.


Prince du néant régnant sur des orifices.


Ainsi que les anciens mexicains le savaient. Le soleil réclame du sang. Contribution
indubitable à l’esthétique générale du cosmos.


Sigismond de Chorasse prétend qu’amener le cynisme grossier à la portée des foules, c’est
livrer Jésus aux nazis.


Griller ? D’accord. Mais pour de vraies raisons.


« Big brother m’inquiète », fit Le grand Maître, « il est trop vieux ».


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